La Fondation Princesse Charlène de Monaco et l’UNICEF France signent un partenariat afin de protéger les enfants de la noyade
Depuis juillet 2024, la Fondation Princesse Charlène de Monaco soutient l’UNICEF dans la mise en œuvre d’un programme de prévention aux risques de noyade et de sensibilisation à la sécurité des enfants autour des points d’eau.
La noyade, une cause de mortalité encore très fréquente
- Les noyades coûtent la vie à plus de 96 000 enfants chaque année dans le monde.
- La région de l’Asie de l’Est et du Pacifique est particulièrement concernée par ce danger.
- Au Cambodge, la noyade figure parmi les premières causes de décès pour les enfants.
Source : WHO’s Global Health Estimates (GHE), 2019
L’engagement de la Fondation Charlène de Monaco
Depuis sa création en 2012, la Fondation Princesse Charlène de Monaco s’engage pour un monde où les enfants, où qu’ils vivent, puissent s’épanouir en sécurité et apprendre à vivre ensemble. La Fondation œuvre notamment pour la prévention de la noyade et développe l’éducation des enfants par les valeurs du sport.
Un programme pour sauver des vies
En 2024, dans la continuité de ses programmes Learn to Swim et Water Safety, la Fondation Princesse Charlène de Monaco s’est rapprochée tout naturellement de l’UNICEF pour contribuer à la lutte contre ces décès tragiques et évitables au Cambodge.
Ce programme prévoit ainsi :
- de proposer des cours de natation à plus de 2 000 enfants à travers des cours de natation et des cours de secourisme à 12 000 adultes, adolescents et enfants
- de soutenir les autorités cambodgiennes pour qu’elles mettent en place des mesures efficaces de prévention des noyades d’enfants, en particulier dans les zones à haut risque.
- de renforcer la coordination et la compréhension des facteurs de risque de noyade des enfants
L’engagement de la Fondation Princesse Charlène de Monaco va contribuer au travail de l’UNICEF pour renforcer le plan national de lutte contre les noyades, et protéger les enfants du Cambodge des décès évitables par noyade.
